ITU Télécom world 2013 à Bangkok « Accueillir le Changement dans un Monde Numérique »
Thème majeur de cette conférence, « le changement » est en passe de devenir la norme au sommet mondial ITU Télécom World 2013 de Bangkok. La capitale thaïlandaise, perle de l'Asie du Sud Est, est devenue en l'espace d'un quart de siècle, le symbole d'un pays dont les mutations ont été les plus spectaculaires. Naguère pays du Riz, la Thaïlande est passée à la dimension d'un pays producteur de matière grise, à travers un fort taux de brevets d'invention, le plus élevé de l'Asie du Sud-Est. A cette maîtrise de la propriété intellectuelle se sont ajoutées l'Économie numérique et l'Intelligence économique. Ainsi, la Thaïlande est devenue l'un des pôles majeurs de l'Economie du savoir.
C'est à cette école que le Gabon est venu s'abreuver en présentant au monde de l'industrie numérique ces projets futurs, à savoir : la future cyber city de l'île Mandji, les parcs technologiques ou les IT Park. Pour le Ministre Blaise LOUEMBE, « intégrer l'économie numérique pour le Gabon est une formidable opportunité, afin d'offrir aux institutions, aux entreprises, à la recherche et à la formation, des services à valeur ajoutée. » De plus, la couverture du pays en fibre optique, en cours de réalisation par l'ANINF, rendra encore plus performante l'administration gabonaise. C'est ce qui a expliqué, sans aucun doute, les arrêts incessants des visiteurs hier, devant le pavillon Gabon, aux termes de la cérémonie inaugurale.
Ces projets que le Gabon est entrain de promouvoir pour concrétiser le pilier « Gabon des services » répondent aux préoccupations de l'heure soulignés dans les interventions des leaders mondiaux en matière de l'industrie numérique. « Ces projets », en d'autres termes, « note Armand Clotaire Lichambani, Directeur Général de la Promotion de l'Économie Numérique, au Ministère de l'Économie numérique auront pour effet de créer un type nouveau de managers et de créateurs d'emplois. Par conséquent, note le Secrétaire Général de l'Union Internationale des Télécommunications, Hamadoun Touré, le changement dans le monde numérique est marqué par une augmentation du chiffre d'abonnés qui passe désormais, de 612 millions en 2008 à 1, 2milliard en 2013. Ainsi, précisera-t-il, la large bande et le mobile sont devenus des outils essentiels au développement et à l'innovation. D'où le recours à la stratégie d'introduire les partenariats publics-privés.
En conclusion, de cette journée inaugurale, la planète fait face à cinq changements majeurs que RezaJafari du groupe télécom board a su démontrer dans son propos. Il a évoqué, premièrement, les changements des comportements des utilisateurs qui interagissent et communiquent de plus en plus via les médias sociaux et les applications de données, plutôt que le téléphone ou le face à face. Deuxièmement, l'entrée en scène des changements de dynamique du secteur, avec l'arrivée de nouvelles entreprises qui entrent en concurrence avec les opérateurs de télécommunication, en appliquant, naturellement, de nouvelles règles qui échappent aux acteurs traditionnels.Troisièmement, cet Internet 2.0 révolutionne la collecte, l'analyse et la diffusion des données à tous les moyens ajoute RezaJafari pour qui, la technologie nouvelle, par exemple, les halo nets, les microprocesseurs ou le WIFI intègrent, à la fois, le traitement et le stockage illimité et à faible coût. Quatrièmement, elles créent une situation singulière qui entraînera des changements irréversibles dans nos vies.
Enfin, cinquièmes, devait-il faire remarquer, la nécessité d'adopter de nouvelles méthodes de normalisation et de réglementation pour s'adapter aux réalités changeantes de ces nouveaux acteurs que sont FaceBook, Twitter ou Google nous imposent à tous une réflexion de fond. Cette réflexion fera partie du grand exposé que donnera le Ministre gabonais de l'Économie Numérique Blaise LOUEMBE au cours du grand Lunch « Gabon Networking Lunch » demain jeudi de 12 H 30 à 13H45 heures de Bangkok soit de 6H30 à 7H45 heures de Libreville (le décalage horaire étant de 6heures entre Libreville et Bangkok) pour édifier la communauté internationale sur les avancées du Gabon dans son exploration de la planète numérique.
AP/DGCOM.
C'est à cette école que le Gabon est venu s'abreuver en présentant au monde de l'industrie numérique ces projets futurs, à savoir : la future cyber city de l'île Mandji, les parcs technologiques ou les IT Park. Pour le Ministre Blaise LOUEMBE, « intégrer l'économie numérique pour le Gabon est une formidable opportunité, afin d'offrir aux institutions, aux entreprises, à la recherche et à la formation, des services à valeur ajoutée. » De plus, la couverture du pays en fibre optique, en cours de réalisation par l'ANINF, rendra encore plus performante l'administration gabonaise. C'est ce qui a expliqué, sans aucun doute, les arrêts incessants des visiteurs hier, devant le pavillon Gabon, aux termes de la cérémonie inaugurale.
Ces projets que le Gabon est entrain de promouvoir pour concrétiser le pilier « Gabon des services » répondent aux préoccupations de l'heure soulignés dans les interventions des leaders mondiaux en matière de l'industrie numérique. « Ces projets », en d'autres termes, « note Armand Clotaire Lichambani, Directeur Général de la Promotion de l'Économie Numérique, au Ministère de l'Économie numérique auront pour effet de créer un type nouveau de managers et de créateurs d'emplois. Par conséquent, note le Secrétaire Général de l'Union Internationale des Télécommunications, Hamadoun Touré, le changement dans le monde numérique est marqué par une augmentation du chiffre d'abonnés qui passe désormais, de 612 millions en 2008 à 1, 2milliard en 2013. Ainsi, précisera-t-il, la large bande et le mobile sont devenus des outils essentiels au développement et à l'innovation. D'où le recours à la stratégie d'introduire les partenariats publics-privés.
En conclusion, de cette journée inaugurale, la planète fait face à cinq changements majeurs que RezaJafari du groupe télécom board a su démontrer dans son propos. Il a évoqué, premièrement, les changements des comportements des utilisateurs qui interagissent et communiquent de plus en plus via les médias sociaux et les applications de données, plutôt que le téléphone ou le face à face. Deuxièmement, l'entrée en scène des changements de dynamique du secteur, avec l'arrivée de nouvelles entreprises qui entrent en concurrence avec les opérateurs de télécommunication, en appliquant, naturellement, de nouvelles règles qui échappent aux acteurs traditionnels.Troisièmement, cet Internet 2.0 révolutionne la collecte, l'analyse et la diffusion des données à tous les moyens ajoute RezaJafari pour qui, la technologie nouvelle, par exemple, les halo nets, les microprocesseurs ou le WIFI intègrent, à la fois, le traitement et le stockage illimité et à faible coût. Quatrièmement, elles créent une situation singulière qui entraînera des changements irréversibles dans nos vies.
Enfin, cinquièmes, devait-il faire remarquer, la nécessité d'adopter de nouvelles méthodes de normalisation et de réglementation pour s'adapter aux réalités changeantes de ces nouveaux acteurs que sont FaceBook, Twitter ou Google nous imposent à tous une réflexion de fond. Cette réflexion fera partie du grand exposé que donnera le Ministre gabonais de l'Économie Numérique Blaise LOUEMBE au cours du grand Lunch « Gabon Networking Lunch » demain jeudi de 12 H 30 à 13H45 heures de Bangkok soit de 6H30 à 7H45 heures de Libreville (le décalage horaire étant de 6heures entre Libreville et Bangkok) pour édifier la communauté internationale sur les avancées du Gabon dans son exploration de la planète numérique.
AP/DGCOM.