Zone économique spéciale de Nkok

Au lendemain du remaniement du Gouvernement survenu le 03 octobre 2014, le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, le Professeur Daniel ONA ONDO, accompagné de plusieurs membres de son équipe Gouvernementale, dont le Ministre de l’Economie Numérique et de la Poste, Pastor NGOUA N’NEME a visité la zone économique spéciale de Nkok, non loin de Libreville.

 

         Sur instructions du Président de la République, Chef de l’Etat, son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, suite aux récriminations dont fait l’objet cette zone économique spéciale, de la part de ses détracteurs notamment certains membres de l’opposition et de la société civile Gabonaise.

         L’objectif poursuivi était d’apprécier de visu l’état d’implantation des opérateurs déjà en activité dans cette zone économique spéciale puis se faire expliquer les perspectives et impacts dans les divers domaines.

 

         Sur place, le Premier Ministre et sa délégation ont eu droit aux éclairages sur cette zone : sa superficie, son fonctionnement, et sa composition, par la voix de Monsieur Djeny MVOU, responsable de la Communication de l’Agence Nationale des Grands Travaux (ANGT).

 

Selon donc ce dernier, la zone est divisée en plusieurs parties :

  • une première commerciale ;
  • une seconde, industrielle réservée aux entreprises spécialisées dans la transformation,
  • une troisième partie dite résidentielle dans laquelle se retrouvent des services tels que : les banques et les espaces commerciaux.

 

         Il faut signaler qu’un quai relié au port d’Owendo est également prévu. La zone dispose déjà d’une autonomie en eau et électricité avec des installations modernes et des forages.

         Autre réalisation en cours : la station devant fonctionner avec des déchets de bois pour palier en cas de nécessité, la baisse de régime de la Centrale d’ALENAKIRI à Owendo 

        

         Sur le site l’on compte déjà la présence des investisseurs spécialisés dans le domaine du bois soit 40 % en provenance d’ ’Allemagne, d’Espagne, du Cameroun, de France, du Benin, d’Inde et récemment de Chine.

         A ce jour 78 investisseurs dont 32 industriels exercent dans la transformation et 16 dans la construction.

L.O & T.O